3.3.2
3-3-2- Cultiver et partager sa singularité
À partir des années 1970, et plus encore des années 1980, émerge un nouveau discours qui vise non plus à rendre les immigrés parfaitement semblables au reste de la communauté nationale (ainsi que le voulaient les tenants de l’assimilationnisme), mais plutôt à les intégrer autour de valeurs communes, sans qu’ils renoncent pour autant à la culture de leur pays d’origine. La diversité résultant des différentes vagues migratoires est même présentée comme une richesse dont la France bénéficie.