Pendant la Première Guerre mondiale, Louis Mercier parvient à maintenir l'activité d'extraction, alors que la concession de Béthune est traversée par la ligne de front, ce qui lui vaut une citation à l'ordre de la Nation.

Après la guerre, Louis Mercier s'attelle à la tâche pour faire renaître Béthune de ses cendres. Reconnaissant ses mérites, la Société des sciences de Lille lui attribue en 1922 son grand prix Léonard-Danel et le gouvernement l'élève à la dignité de commandeur de la Légion d'honneur.

Malgré ses déplacements incessants et son travail administratif important, Louis Mercier tient à s'occuper lui-même de certains dossiers, et n'abandonne jamais les aspects les plus techniques de son métier.