L’apprentissage et la formation professionnelle sont mis en valeur par les compagnies, conscientes de l’avantages de disposer d’agents qualifiés.
En 1938, la SNCF hérite des centres d’apprentissage des compagnies et décide de ne pas changer le fonctionnement de ces centres jusqu’aux années 1960. Chaque apprenti suit une formation générale puis technique avant de choisir son métier définitif : mouleur, chaudronnier… Les meilleurs apprentis peuvent suivre un second cycle d’études pour accéder à un niveau supérieur.
À partir des années 1970, les notions de « droit à la formation » et de « formation continue » font leur apparition dans le droit français comme à la SNCF. Ces nouvelles mesures s’inscrivent dans une longue tradition de promotion professionnelle et de mobilité des agents des chemins de fer.